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Ecrire et mourir
26 janvier 2008

Noirceur

Un autre jour, une autre sensation
Tout les jours, une autre dépression.

 

 

 

Je vis intérieurement l’instant présent.

 

C’est toujours dans le désespoir et la tristesse que je me confis.

 

Comment ai-je pu laissé la mer se retirer ?
Elle était la, telle un lagon, entourée de sable fin.
Mais face au calme de la plage elle a préférée s’en aller.

 

Il est tard et je ne trouve pas le sommeil
J’étais transporté mais paraissait lassé
Il est tard et je ne trouve pas les mots
J’étais aux cieux mais paraissait dans les ténèbres
Je t’aimais et je t’aime mais je ne l’ai pas montré.
Comment peut-on être aussi con ?

 

 

Je prie un dieu en lequel je ne crois pas,
Je tue mes pensées, pleure tout bas,
M’enferme dans un vide infini
Pour toi, ton amour, à tout prix.

 

 

La pensée d’une vie loin de toi me fait pleurer
Mais la douce chaleur de tes yeux me fait aller mieux
La pensée d’un avenir sans toi me fait trembler,
Moi sans toi, seul dans le froid d’une âme sans émois, sans bois pour rallumer le feu qui s’est éteint dans mon cœur, la flamme de l’espoir, de la tendresse, de l’amour.
Et c’est l’image d’une lumière si pure, si radieuse
Si désirable qui restera gravée dans ma chair jusqu’à ce que le désespoir ne m’emporte.

 

 

 

Mon esprit se vide de toutes pensées, seule ton image est présente, je me souviens du bonheur mais ne vis que dans la noirceur.
Noirceur d’un monde qui sans toi n’est que douleur.

 

Je sais que tu m’offres ton cœur mais le mien est ailleurs.

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